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Ce que je sais de l’Allemagne et de la France, c’est l’incomparable complémentarité des compétences développées par chacun de ces deux pays.

 

Ce que je sais de l’Allemagne et de la France, c’est que chacun de ces deux pays admire la compétence de l’autre et lui offre la possibilité de l’exprimer dans un projet commun (ex. : Airbus Commercial Aircraft, Arte, partenariat Mercedes Valéo…  ).

 

Ce que je sais de l’Allemagne et de la France, c’est la force du Traité de l’Élysée du 22 janvier 1963, dont on mesure aujourd’hui la portée à travers :

 

les jumelages entre villes, 

 

les échanges entre jeunes de part et d’autre du Rhin grâce aux programmes de l’OFAJ (Office franco-allemand pour la jeunesse) qui, depuis 1963 ont permis à plus de 8,4 millions de jeunes de participer à 320 000 programmes d’échanges,

 

mais dont on connaît moins les prolongements en matière de défense et de sécurité (Conseil franco-allemand de défense et de sécurité, CFADS), d’économie et de finance (Conseil économique et financier franco-allemand, CEFFA) et d’environnement (Conseil franco-allemand pour l’Environnement, CFAE).

 

Ce que je sais de l’Allemagne et de la France, c’est que leurs enfants étudient de moins en moins la langue et la culture de l’autre. 

Pourtant, un agenda franco-allemand fixe la feuille de route entre nos deux pays à l’horizon 2020 et son volet éducation vise à pallier ce manque.

 

Ce que je sais de l’Allemagne et de la France, c'est l'immense potentiel d'affaires qu'il nous reste à développer.

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        Anne Leroy Baurès

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